Alors que le Maroc continue de dépendre fortement des importations de combustibles fossiles, qui sont vendus aux consommateurs locaux à des taux inférieurs à ceux du marché, l’Etat cherche à réduire les répercussions du secteur de l’énergie sur les finances publiques en stimulant la production locale et en abaissant les subventions aux combustibles. Alors que les réserves prouvées de pétrole et de gaz sont très limitées, le Maroc compte aussi parmi les pays les moins explorés au monde.