Un fort taux de croissance du secteur non agricole au premier semestre, auquel s’ajoutent des récoltes records, se sont traduits par une amélioration des perspectives de croissance du Maroc en 2011. L’inflation reste faible malgré une hausse supérieure aux prévisions. Le gouvernement travaille à un certain nombre de mesures pour enrayer le problème du déficit budgétaire, dont la forte hausse est source d’inquiétude.