Un prêt de 200 millions de dollars de la part de la Banque Mondiale devrait permettre au secteur ivoirien de la noix de cajou, également appelée anacarde, de gagner en efficacité et d’accroître sa rentabilité ; dans le même temps, le gouvernement a renforcé les efforts déployés pour venir à bout de la contrebande de la noix de cajou.